Le plus difficile lorsque l’on arrête de bloguer pendant un certain temps, ce n’est pas de revenir. Non, le plus dur, c’est de reprendre le rythme (et trouver le courage de répondre aux 15 000 mails et commentaires). Retrouver son créneau, l’insérer dans sa routine et je dois vous dire que j’ai un peu de mal. Pourtant, j’ai 1000 choses à vous raconter, vous montrer. Pour le coup, un petit vrac, rien que pour vous, avec des choses certainement inutiles et inintéressantes – comme des brèves de comptoir. Or, dans chaque confidence, vous admettrez qu’il y a toujours ce petit quelque chose qui anime une lueur au fond du regard. Un espoir, un doute, une crainte, une émotion vive qui peut toucher n’importe qui.
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Brèves de comptoir
– La Douceur du Dimanche – Le grog des Princesses
Pour peu que vous suiviez les derniers évènements, vous aurez compris que j’étais Balade du nez, de la gorge et compagnie. En décembre, raz-le-bol de tous ces microbes et victime d’une immense flemmingite aiguë, j’ai cédé à l’appel du grog de ma grand-mère plutôt qu’à la salle d’attente de mon cher docteur adoré.
Ma grand-mère, c’est la reine du grog des pirates. Un espèce de mélange à base de rhum (ou whisky), de tisane, d’aspirine et d’autres ingrédients farfelus et bien dégueux lorsqu’on les mélange ensemble.
Pour ma part, j’ai fait une première tentative de grog des pirates à ma façon et c’était bien bon et efficace. Mais je le trouvais fort peu poétique et délicat pour en parler ici alors j’ai apporté quelques modifications pour le transformer en Grog des Princesses fraîches et délicates. (Si vous saviez à quel point je suis fière de cette recette cucul la praline.. ahah !)
Allez, si vous êtes malades ou balades, je vous incite fortement à lire la suite, c’est d’intérêt public.
Le syndrome du ventilateur
Je suis sûre que vous avez toutes/tous subi ce gag récurrent dès que les températures ont la mauvaise idée de grimper au-delà de 25°C la nuit. Les nuits. Souvent l’été. Pendant au moins un mois ou deux ..
Vous allez vous coucher, vous avez chaud: impossible de s’endormir. Le réflexe imparable: allumer le ventilateur.
RAhhh ça fait du bien, les draps redeviennent agréables, votre peau respire normalement, votre oreiller est frais, le ventilateur fait un bruit monstre: impossible de s’endormir. Remboursez !!
Le dilemme est grand, la chaleur aussi; l’envie de se retrouver le lendemain tel un zombie, carrément moins. Bref, chacun trouvera sa méthode fétiche: les boules quiès, la nudité, une douche froide, déménager, râler et finir par s’endormir. Enfin !
Pour ma part, certains le savent déjà, j’ai un sommeil très léger et un passif d’insomnies long comme mon bras; donc le ventilo est un ennemi en puissance. Et réussir à m’endormir moite relève d’un sacré défi et un taquet mortel dans la nuque serait beaucoup plus efficace. (Selon moi; mais radical, nous sommes d’accord.)
Cependant, cet été, j’ai fini par accepter l’intrus. Ce bruit infernal, ma tête a fini par l’accepter. Je ne sais toujours pas comment ni pourquoi. Le miracle d’une vie. Rep à ça, les nuits chaudes ! Finie la bamboula jusqu’à 5h17 du mat.
- Le Vendredi, c’est Musique ! – L’évolution du mâle au fil des décennies
En 1952, nos ancêtres découvraient avec stupéfaction que l’amour pouvait vous faire chanter sous la pluie et sauter avec entrain dans des flaques d’eau. Passé 5 ans cela était forcément mal vu. Gene Kelly a décidément un charme indéniable avec son sourire ravageur.
La question du jour est la suivante: outre Darren Criss aka Blaine Anderson dans Glee, qu’en est-il du stéréotype du mâle dans le milieu musical à travers toutes ces époques et ce, jusqu’à aujourd’hui ?
Allez, je vous raconte tout, qui plus est en musique !
Semáforos
Depuis peu, je voue une véritable fascination aux feux pour piétions. Surtout les verts. Dès que je me balade en ville, mes yeux les guettent. S’ils sont rouges, je trépigne d’impatience. Non pas pour traverser la rue au plus vite et poursuivre mon chemin comme toute personne normale, non, juste pour voir réapparaître ce contraste de couleur entre cette figurine internationale verte et le bleu du ciel, le noir nuit ou le gris-blanc neige froide.
Je reconnais que là, noir sur blanc, j’ai l’impression de passer pour une folle-dingue. Mais comment vous expliquer alors si ce n’est qu’avec des mots et des ressentis ?
Souvent, mon cerveau ne reçoit pas le même message que celui que ce symbole est censé représenter. Officiellement, le piéton vert nous indique qu’il est bon de traverser en semi-sécurité. Dernièrement, depuis mon obsession de l’objet, il peut m’arriver de penser qu’il m’adresse des messages personnels. Un peu comme un fil déroulant de mantra et de maximes réconfortantes.
(C’est bon, je crois que j’ai perdu mes dernières lectrices dévouées …)
Mais ce que je préfère de loin, ce sont les enfilades sur les boulevards dès que la nuit commence à tomber. Cette ribambelle de petits bonhommes verts me précède tels des lutins bienveillants m’affirmant que je suis sur le bon chemin et que tout va bien. Et ça m’éclate. J’aurais presque envie de les prendre tous en photo et de créer des collages afin de les collectionner.
N’ayez crainte, je me soigne.
Allez, je vous laisse, chéri m’appelle pour que je prenne mes médocs .. ^^
P.S.: Dans un autre registre, l’année dernière un artiste hongrois (Roman Tyc) s’est fait emprisonner pour avoir détourné de manière illégale 50 feux à Prague, en protestation contre l’Etat. Source: Courrier International.
366, Instagram et Flickr
Toujours en vue de vous en dire plus sur mon how-to spécial cartes de vœux, sachez que nous progressons: je les ai retrouvées {les 2012} {le fameux carton.. }. Comme je souhaite vous faire un article bien comme il faut, je préfère prendre un peu plus de temps pour tout peaufiner mais pas demain: j’ai poney …
En attendant, pour passer le temps et ne pas vous déprimer avec d’autres textes nostalgiques, parlons photos.
Petit trésor et petite voix
J’avais prévu un tout autre article pour aujourd’hui: celui de la création de mes cartes de voeux. Je savais qu’il était demandé depuis l’année dernière (oups..) sauf que je n’ai pas eu le courage de farfouiller TOUT mon bureau pour les retrouver. J’en suis même venue à me parler à voix haute: « Dis-moi Céline, si tu étais une maniaque folle à lier, où aurais-tu rangé les cartes lors du dernier pétage de plomb ? » Après quelques minutes, la réponse est arrivée: « Facile, j’aurais tout refourgué dans un carton que j’aurais placé sur la grande armoire ! » MAIS BIEN SUR !
Entre temps, j’ai mis la main sur une boîte en métal contenant de vieilles photos. J’avais carrément oublié leur existence. Parmi elles, celle-ci datant de l’été 95, j’ai 12 ans depuis peu.
Je me souviens, c’était un dimanche. Il fallait prendre une dernière photo avant notre départ. Les chaises, le Canon, la canne de Pépé, Caro pleure, Seb sautille, Papi allume une cigarette, Mamie veut débarrasser la table avant. Tout ce petit monde finit par s’installer sous les indications de Carmen.
Le retardateur me fascine. Est-ce qu’elle arrivera à se placer suffisamment vite au moment où la photo se déclenchera ? A cet instant précis c’est tout ce qui m’intéresse vraiment. J’esquisse même un petit sourire narquois lorsque je l’imagine immortalisée hors-cadre; exclue du reste de ma famille. Il y a une autre question qui me taraude. Est-ce que je serai heureuse quand je serai grande ?
Silent Night
Que ce soit pour Hanoucca, Noël ou toute autre tradition, j’espère de tout coeur que vous avez passé d’excellentes fêtes de fin d’année. Pour notre part, nos plans d’origine ont été un poil bouleversés à la dernière minute mais cela ne nous a pas empêché de célébrer cette période festive avec joie, gratitude et amour. (et de la glace et des chocolats aussi !)
Par contre, le blog en a pas mal pâti -SORRY- mais je suis à nouveau parmi vous alors c’est chouette, n’est-ce pas?
Allez, je vous embrasse fort en attendant le prochain article. See you soon !
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