Il y a quelque temps de cela, je me suis rendue compte d’un fait supra important qui m’empêchait de revenir ici la tête sereine et le coeur léger: ma boîte mails. Enfin, celle de dmes. Pleine à craquer. Parmi les mots doux, les demandes pénibles et cette exaspération viscérale, cette envie de meurtre à chaque fois que quelqu’un m’ait confondue avec un des deux loustics du 118-218. Même sept mois après avoir enlevé toute trace numérique de mon adresse. Il y a beaucoup de futé(e)s ou de gens pénibles – au choix.
Et puis cette semaine, après six semaines, j’ai enfin retrouvé ma bague de fiançailles et mon alliance alors je me suis dit que c’était le bon moment pour tourner la page. J’ai gardé les mots doux auxquels je n’ai pas encore répondu et j’ai viré tout le reste.
Vous savez quoi ? Ça fait un bien fou. Parce que finalement, je ne fais pas partie du 118-218, et il n’y a pas non plus écrit Renseignements ou Google sur mon front. Voilà, c’est dit.
Je suis une blogueuse qui répondra aux mots doux as soon as possible ; ni plus, ni moins.
Sur ce, vous m’avez manqué, les non-pénibles ^^
Bonne idée, et puis, surtout, comme ça tu peux revenir ici, et je pense qu’il y en a plein qui seront contents !
Merci XelOu ;)
Je n’ai pas le problème de cette over-dose de demandes pénibles, et grand bien m’en fasse, mais dis toi que de toute façon, toute exposition suppose un revers de la médaille, et qu’au fond, si l’anonymat du net fait que des gens se permettent bien des choses, tu as aussi le droit de dire merde et d’ignorer qui tu veux ;o)
En fait, le problème n’est pas vraiment de recevoir des demandes pénibles, c’est que 80% des fois, les gens sont malpolis et ça me crispe terriblement.
La bienveillance est quelque chose qui devient rare de nos jours et c’est bien dommage…
Moi je déteste par-dessus tout la méchanceté. Je supporte mieux la bêtise. Mais la méchanceté, non, je ne vois pas l’intérêt.
Bref, tu me manques quand je n’ai rien à lire sur ton blog!
OUi, oUI, reviens! (on va vivre la main dans la main!) :-D