Les faire-parts ont été envoyés, c’est officiel, la Princesse au petit pois se marie avec son Prince chéri ^^. Voilà ce que je vous cache depuis le mois de Septembre.

« Mariage royal » dans moins de deux mois, c’est fou comme le temps passe vite. On a de la chance, nous sommes déjà mariés civilement mais ce n’est pas le boulot qui manque. Quand je vous disais il y a quelques mois que j’étais bien occupée, eh bien maintenant vous êtes au courant d’une bonne partie de la chose en question.

YOupi Tralala, je ne souhaite qu’une chose: c’est qu’il ne pleuve pas !! Si quelqu’un connaît des incantations je suis preneuse :) Non parce que si Kate et Will ont du beau temps, et nous de la pluie je risque de l’avoir mauvaise. Vraiment! Ce serait le monde à l’envers: du soleil à Londres et de la pluie dans le Var (situation ri-di-cu-le).

Et sinon, est-ce que vous vous rendez compte du nombre impressionnant de liens de mariages et de belles photos dont je vous ai épargné ? Je dois vous dire que ce fut dur mais j’y suis arrivée !! Mais si vous en voulez, j’en ai plein mon bureau …. Il suffit de demander …

Je suis quelqu’un de très fidèle concernant les parfums. J’ai mis très longtemps à apprivoiser the one. Choisir la fragrance qui me définit le mieux n’a pas été une chose aisée. Entre l’envie d’un parfum agréable à sentir et celle de ne pas porter le même que la plupart des femmes de mon âge souvent obsédées par LE parfum à la mode ou le dernier sorti.

Du coup, depuis quelques années maintenant, il n’y en a que deux qui restent exclusifs à mes yeux:

L’eau Parfumée au Thé Blanc – de Bvlgari

Purple Orchid for Eternity –  Edition Limitée de Clavin Klein (2003)

Le Purple Orchid n’est hélas plus commercialisé et ce, à mon grand désespoir. Il m’en reste un fond de bouteille et je me surprends souvent à humer cette douce odeur d’orchidée et de musc que j’aime tant. Du coup, je me rattrape sur le Bvlgari qui a cette incroyable capacité de remplir une pièce de légèreté, de soleil et de bien-être en un seul pschitt! Envoûtant je vous dis.. Génial pour l’hiver quand il fait bien gris et parfait pour l’été pour sa fraîcheur. Ce parfum donne la joie de vivre.

J’ai en ma possession un adorable trousseau de mini-parfums pampilles à accrocher à son sac, son téléphone ou bien à son porte-clés pour ne citer que ces trois exemples. Le tout Lolita Lempicka. Un petit quelque chose tout mignon, tout joli qui sent bon mais que je n’utiliserai pas. Alors, je l’offre en cadeau. **NON SPONSORISÉE **

♥ ♥ Qu’il est loin le temps où je jouais à chat perché ♥♥

Il reste encore un mois avant que l’orgie chocolatesque fasse son apparition; alors pour patienter d’ici là, je me suis amusée à créer des semis dans des coquilles d’oeufs. C’est une photo de chez Fifi Mandirac qui m’avait interpellée et j’avais trouvé que ce serait tout mignon tout joli de faire la même chose au printemps suivant ! Et comme il est enfin arrivé, il est l’heure de partager avec vous cette bonne idée ^^

Pour cela, rien de plus simple: des coquilles d’oeufs vides, du coton, des coquetiers et des graines. Et après il n’y a plus qu’à attendre que la nature fasse son boulot.. bon on n’oublie pas d’arroser non plus, hein, c’est le minimum. Et puis, de mettre ces jolies choses au soleil tant qu’à faire ! Allez, c’est parti !!

Mon ami, si tu es allergique au second degré alors tu peux passer ton chemin pour la journée. Pour les autres, voici un blog découvert il n’y a pas si longtemps que cela (via @Twitter) et qui me fait pouffer de rire à chaque nouvel article.

Claire est blogueuse et c’est déjà pas mal. Si tu as envie d’en savoir un peu plus sur elle, va jeter un coup d’oeil à son cv qui est bien hilarant.

A part çà, j’adore sa vision de la vie (2.0 notamment), ses articles sous forme de graphiques ou de tableaux mindmapping et ses caricatures qui prouvent à chaque fois à quel point la créativité et l’humour ont de nombreux jours devant eux.

Ça faisait un bon bout de temps que je ne vous avais pas montré notre jolie chambre. Jolie, car nous l’avons quasiment (ahem) terminé. Il ne manque plus qu’à finir l’électricité et deux-trois petites choses dans la penderie. Nous sommes quand même vachement contents. Je trouve qu’elle a de l’allure et le résultat est aussi chouette que ce que nous avions imaginé.

Depuis la dernière fois, nous avons isolé le mur qui donnait sur le pignon extérieur de l’immeuble et donc tout refait de zéro: placô, montants, laine de verre, joints, enduit, lissage , sous-couches et peinture. Les fenêtres ont été changées et puis nous avons pu nous attaquer à la partie penderie dont je vous montrerai l’intérieur une prochaine fois. Et cerise sur le gâteau, il y a aussi mon nouveau petit coin coiffeuse dont je suis tombée amoureuse ^^

Ouh lala, rien que le titre me fait peur !! Et pourtant me voici bien lancée dans ce projet ambitieux et déluré de réaliser un gâteau (the gâteau) chevauché de quelques copains, garnis de lemon curd et enrobé de quelque chose qui ne soit ni étouffe-chrétien, ni dégueux, ni écoeurant. Donc me voilà à la recherche de LA recette. En attendant, voici l’essai #1 qui, bien qu’étant bon, n’est pas concluant.

Ce n’est pas grave, cela m’a permis de retrouver ma recette de génoise que je n’avais pas préparée depuis des lustres. C’est dire. Et puis entre temps, nous avons échangé mon petit four par une chouette gazinière/four ce qui m’a valu le stress impliquant des questions philosophiques sur la température que je devais régler. Car c’est bien chouette de marquer au crayon « entre 150° et 180° degrés » cela n’aide pas.

Bref, ce gâteau est simple: de la génoise, du lemon curd et une meringue italienne. Vous sentez déjà votre index glycémique se déchaîner ? C’est normal et voilà pourquoi cet essai n’est pas concluant: on est vite écoeuré par le tout. Pourtant il y a peu de différences avec la tarte au citron meringuée mais je ne saurais vous dire: bien que la génoise soit super légère et qu’elle ait eu largement le temps de s’imprégner du lemon curd, la meringue est de trop. Et sans meringue, ben c’est moche et pas fini.

Cette semaine, je découvre l’univers d’Ingrid Michaelson. Auteur, chanteuse et compositeur new-yorkaise, d’après wiki mon ami, sa musique est très souvent utilisée dans les séries tv. Aujourd’hui, je vous propose de visionner le clip de The Way I Am.

Coup de coeur pour la musique, coup de coeur pour le rythme, coup de coeur pour le clip, coup de coeur pour les paroles.

Aujourd’hui, je fais ma fleur bleue et j’assume. Si vous êtes enchanté(e)s comme moi vous pouvez la retrouver sur son myspace et découvrir ses autres chansons !

P.S.: Du rouge, du rouge et encore du rouge. Je n’allais pas non plus ne pas poster aujourd’hui, par solidarité ou autre, il y a mieux à faire. A ce sujet, pour chaque achat d’un kakeibo 4€ seront reversés à la Croix-Rouge pour aider le Japon.

Ce que je préfère dans le thé ? C’est facile, ce sont les théières et souvent les tasses qui les accompagnent. Vous l’aurez compris, je n’aime pas le thé. Boire de l’eau chaude infusée aux fruits rouges ou au crumble, non merci. Très peu pour moi! Et pourtant je trouve ce rituel au plus haut point agréable, calme et poétique.

Mettre l’eau à chauffer, choisir avec attention la saveur qui nous fait le plus envie à ce moment précis; ouvrir ses placards pour sortir tasse, soucoupe et théière et commencer à rêver d’un bon petit moment chaleureux où l’on aimerait que le temps reste suspendu tant que la dernière goutte de thé n’ait pas été bue! Amateurs de thé, ai-je raison ?

C’est donc souvent que je me retrouve avec un verre d’eau fraîche lorsque mes amis se réchauffent autour d’une bonne théière. Parfois, si l’Earl Grey fait partie des thés présents, j’en demande une tasse de façon à rester polie. Mais ce n’est pas vraiment ma tasse de thé (ah ahaha). Encore une fois, l’Earl Grey, je le préfère dans les madeleines !!

Bref, tout cela pour vous dire que le thé je n’aime pas çà et pourtant j’ai trouvé mon bonheur! Et c’est grâce à Nicolas Le Bec, devrais-je dire.

Je n’aime pas facebook, je le dis souvent ici ou là et pourtant je l’utilise. Ceci dit mon compte perso est plutôt à l’abandon et je ne le ferme pas parce que c’est beaucoup plus simple pour garder contact et donner des nouvelles lorsque l’on a de la famille et des amis qui vivent loin, même très loin devrais-je dire.

Quand j’ai créé ce blog, j’ai également créé un deuxième compte facebook (Douce Mise en Scène) pour y mettre les mises à jour et ainsi ne pas polluer mon compte perso avec mes articles. Et comme je ne pensais pas avoir autant de fidèles lecteurs, cela me convenait dans la mesure où c’était plutôt destiné à certains de mes amis de la vie réelle.

Dernièrement, et surtout depuis que je vends des kakeibo, j’ai eu de « nombreuses » demandes d’ajout alors j’ai décidé de créer une fan page que vous pouvez rejoindre ici si jamais l’idée vous tente.

Coup de Coeur complètement super ficiel, j’ai pas mal douté quant à la meilleure rubrique pour cet article mais comme je veux vous parler d’autre chose demain alors ce sera ici et aujourd’hui.

Virée à Ikea hier soir. Rentrée à la maison (entre autres) avec ces trois petites bougies aux couleurs de Douce Mise en Scène. Plus futile tu meurs. Rahh, c’est bon, on a jamais assez de bougies à la maison, non?

Sait-on jamais s’il fallait vivre retranché et coupé du monde sans électricité les jours prochains, au moins, on aura de quoi s’éclairer.

Sur ce, je retourne à Ikea, j’ai oublié les plaids qui vont avec!! Non, je blague. J’ai mon bureau à ranger si je veux pouvoir en parler dans le prochain – Sweet Home – !

Les joies d’être propriétaire ne se résument pas qu’à pouvoir mettre enfin autre chose que du blanc, du blanc cassé, du blanc crème ou du jaune clair sur les murs. Ni même celles qui nous permettront enfin d’avoir une bonne raison de passer 50 heures par semaine chez Ikea et Leroy Merlin.

Etre propriétaire, c’est bien plus que cela.

Etre propriétaire, c’est se rendre compte un vendredi soir à 19h17 qu’une fissure est apparue sur la colonne d’eau de l’immeuble qui est dans vos toilettes et écrire un mail au syndic car c’est la seule chose que l’on peut faire à ce stade de la journée et surtout de la semaine. Ensuite on peut éponger, éventuellement fixer quelques centimètres de gros scotch et espérer que ce système D jouera ses fonctions jusqu’à la venue d’un plombier.

Etre propriétaire, c’est accepter qu’au-delà des réaménagements que l’on envisage de faire, il y aura toujours un risque de faire une désagréable surprise. C’est ce qu’on appelle les joies du bâtiment. Surtout lorsqu’il n’est plus tout jeune.

Etre propriétaire, c’est au début une envie de ne plus jeter son argent par les fenêtres et puis avec le temps cela devient un apprentissage de vie. Les responsabilités, les choix, les appels de fonds, les votes, les assemblées générales. Toutes ces choses de la vie en communauté qui nous rappellent que nous ne sommes plus des enfants.

Non, nous ne sommes plus des enfants.

Etre propriétaire, nous en rêvions mais nous étions loin de savoir ce qui nous attendait réellement.

Il y a des recettes que je vais mettre de côté dans mes favoris en me disant qu’un de ces jours leur tour viendra. Il y a des recettes que je vais mettre de côté en me disant pourquoi pas. Et puis, il y a des recettes que je vais essayer tout de suite et cela pour diverses raisons. Et ça devient une idée fixe. Vérifier que mes placards et mon frigo renferment tous les ingrédients nécessaires et tant pis si ce n’est pas le bon moment!  Mon blog, ma série préférée et tout le reste attendront. Là, je suis occupée à réaliser ma nouvelle recette préférée.

Voici ce qu’il s’est passé avec le Pain Brioché mais pas que, de flou.

J’avoue: la première fois que je suis passée devant Rue Le Bec en me promenant le long des berges de la Saône à Confluence, j’avais trouvé que c’était quand même culotté d’appeler son propre restaurant « Rue Le Bec ». Un bien vilain jugement sur Nicolas Le Bec, chef étoilé au guide Michelin, que je ne connaissais pas plus que çà et dont j’avais découvert l’existence grâce à un film dont quelques scènes avaient été filmées dans son autre restaurant dont la clientèle est plutôt huppée.

Alors oui, j’avoue que ce n’était pas très intelligent de ma part. Cependant, je n’aurais jamais pensé qu’un jour je finirai par manger là-bas et qui plus est: aimer cet endroit insolite et d’autant plus original, beau et bon. Puis, y retourner une deuxième fois et ce, la même semaine.

On va dire que tout cela est arrivé suite à une série de hasards…

La semaine dernière, quand je vous parlais de la visite des traboules de la Croix-Rousse, j’ai vaguement mentionné la seconde partie de la visite qui consistait à en apprendre un peu plus sur la sérigraphie sur soie.

Pour être honnête, c’était vraiment la partie qui m’intéressait le moins et finalement j’ai pris autant de plaisir à écouter le responsable de l’atelier que l’intervenante qui nous a baladé sur les Pentes. (Et ce n’est pas parce qu’à l’atelier, il faisait quand même vachement moins froid !!)

A savoir que Lyon a connu son Age d’Or au XVII siècle étant devenue le centre mondial incontesté de la soie. La France a notamment connu un essor grandiose grâce aux somptueuses étoffes réalisées à Lyon pour les prestigieuses Cours Royales Européennes.

De nos jours, l’activité est moindre même s’il reste une grande demande pour les fameux carrés de soie. Vous me direz, en quoi est-ce palpitant ?? Eh bien, je vais vous le dire en trois mots:

art – passion – qualité.

Traverser la Saône par la Passerelle Saint Georges en direction du Vieux-Lyon et de la Basilique de Fourvière lorsque le soleil se couche est une de mes choses préférées à Lyon ! Alors aujourd’hui (à défaut d’avoir un article plus constructif) je vous emmène en balade avec moi !!

[ NOUS INTERROMPONS LE PROGRAMME EN COURS SUITE A UN ÉVÈNEMENT EXTRAORDINAIRE ]

Sujet particulier aujourd’hui et quand bien même des choses beaucoup plus graves se passent dans le monde, je ne peux pas ne pas réagir…

Comment? Une leçon de macarons ?? Eh oui !! Et même si depuis, la mode est aux cupcakes et aux whoopy-pies, voilà quelque chose que je voulais faire depuis longtemps: participer à un cours de cuisine. Je ne dis pas qu’à Grenoble cela n’existe pas mais ce n’est pas pareil. Pour notre LoveTrip je voulais une activité un peu originale et comme nous aimons bien cuisiner tous les deux: j’ai trouvé l’idée du cours de cuisine sympatoche. Bien que chère mais sympa tout de même. C’est donc à l’Atelier des Chefs que j’ai jeté mon dévolu bien qu’il existe de nombreux autres endroits où apprendre à cuisiner.

Et celui qui était bien intéressant était un cours de deux heures le samedi après-midi: Les macarons Passion, miam !

Et donc, c’était comment ?

Avant d’habiter à Lyon, ja-mais je n’avais mangé de tarte aux pralines. C’est simple je ne connaissais pas du tout cette recette. Les pralines, je savais plus ou moins ce que c’était: sur la brioche Saint-Genix c’est super bon et je crois que cette appréciation gustative me suffisait.

Et puis Lyon, les restos, la carte des desserts et cette fameuse tarte qui était toujours présente aux côtés d’une tarte au citron ou d’une mousse au chocolat. Sans oublier les nombreuses vitrines des pâtisseries, boulangeries et divers salons de thé qui finissent toujours par mettre l’eau à la bouche ! Il a bien fallu que je me jette à l’eau (hahaha).

La meilleure tarte aux pralines que j’ai pu manger? Celle de la Brasserie des Brotteaux: un pur délice !

D’habitude, le vendredi c’est musique. Aujourd’hui, j’avais envie d’agrémenter ce billet de cette chanson magnifique de Benjamin Biolay, Lyon Presqu’île.

Et puis aussi des photos prises sur cette fameuse Presqu’île. Des tranches de vie Lyonnaise. Vous ai-je déjà dit ô combien j’aime cette ville ??

En voilà une bonne idée que nous avons eu: nous inscrire à une des visites guidées organisées par l’Office du tourisme. Les traboules sont (la plupart des fois) des passages entre deux rues et sont le plus souvent connues à Lyon puisque la municipalité a décidé de les rendre accessibles aux touristes.

Celles des pentes de la Croix-Rousse étaient surtout utilisées par les ouvriers des ateliers de soie. Si vous ne connaissez pas, je vous invite à lire l’article de wiki-mon-ami.

Samedi matin, nous avions donc rendez-vous à 10H30, Place de la Croix-Rousse. Comme pour la plupart des lieux touristiques lyonnais, je n’avais jamais pris le temps de visiter ce faubourg incontournable.

(Et pourtant j’y ai bossé pendant quelques temps .. honte à moi !)

Et j’ai adoré cette visite que je vous recommande vivement que vous habitiez la ville ou que vous soyez de simples visiteurs d’un week-end. Voici donc quelques photos notre balade.

Au début, nous avions décidé de passer nos quatre jours à flâner tranquillement et rien d’autre et puis l’idée farfelue de jouer aux touristes est venue titiller ma petite cervelle. Quitte à passer du temps à Lyon, autant faire les choses en grand. Combien de personnes ne prennent jamais le temps de visiter leur propre ville ou bien celle où ils vivent ? Moi la première. J’ai vécu deux ans à Lyon en me contentant du minimum syndical: le Vieux-Lyon, Fourvière, le Parc de la Tête d’Or. Emballé, c’est pesé.

Donc voilà, il y a quinze jours nous avons bravement poussé la porte de l’Office du tourisme, nous avons collecté une bonne quantité de flyers et même qu’on a papoté avec une des gentilles hôtesses d’accueil.

Ce qui m’a tout de suite frappé, c’est la gentillesse et le professionnalisme des personnes travaillant à l’Office du tourisme. (Pour avoir moi-même bossé dans ce secteur je peux vous dire que ce n’est pas toujours le cas ..) Ce qui fait que nous sommes ressorti avec en notre possession la CityCard : une carte donnant droit à plein de réductions sur une bonne partie des attractions lyonnaises.

♦ ♦ Plus de lecture et de photos ici ♦ ♦

Toujours sur le quai Rambeau.

Au loin, on distingue un arbre entouré de cette bande striée rouge et blanche. C’est en s’approchant que l’on finit par se rendre compte que ce n’est pas une parcelle condamnée en rapport aux travaux sur place mais bel et bien le seul arbre présent aux alentours.

Tout est dans le titre: des mots, des typos. Des messages sur des affiches, d’autres gravés dans la pierre. Un article qui fait suite au précédent .

Arriver à Part-Dieu et  bondir dans le premier train en direction de Perrache. Huit minutes d’un trajet qui rappelle toutes sortes de souvenirs. Traverser le Rhône et faire la course avec le tramway qui suis sa route le long des rails. Jeter un coup d’oeil à Fourvière, puis à l’Hôtel-Dieu, rêver en suivant la grande roue dont le lent mouvement ramène notre regard à la réalité. Ça y est, nous sommes arrivés.

Il ya du soleil dehors, pas grand’monde.

Direction le Cours Charlemagne. C’est en me laissant guider par les escalators que j’aperçois les Archives Municipales et sa nouvelle façade que je n’avais pas encore eu l’occasion de voir.